Tant de fautes dans si peu de mots! Premièrement, pour commencer, on ne veut rien, on espère. (Au pire, on souhaite.) Ensuite, deuxièmement, nous autres Bretons sommes très à cheval sur le vouvoiement, en toutes circonstances. – Tolik chyb v tak málo slovech! Zaprvé, hned zkraje, neříká se, že něco "chcem", nýbrž, že "doufáme". (Nanejvýš že "bychom si přáli".) Zadruhé, my Britové si velmi potrpíme na vykání, za každých okolností.
Le patois, comme nous y avons déjà fait allusion dans la morphologie, ne semble pas connaître le vouvoiement. – .[1]