Dès que se précisait quelque part, chez les juifs italiens, une rumeur d'agonie, la Zia (…) se précipitait au grande théâtre de la mort. Si la famille nourissait encore quelque espoir, son arrivée signalait à celle-ci que le dénouement était imminent. – Jakmile se někde u italských židů objevila fáma o předsmrtném zápasu, Zia se vrhala k velkému divadlu smrti. Pokud rodina ještě chovala jakousi naději, její příchod jim oznamoval, že konec je neodkladný.[1]
Il ne s’agit pas de l’histoire de la Première Guerre mondiale raccontée en bande dessinée, mais d’une succession de situations non chronologiques, vécues par des hommes manipulés et embourbés, visiblement pas contents de se trouver où ils sont, et ayant pour seul espoir de vivre une heure de plus, souhaitant par-dessus tout rentrer chez eux... en un mot, que la guerre s’arrête !