Malheureusement, notre idéal commun de départ a été trahi par notre leader en la personne du lt-col PHSD, en qui nous avions placé toute notre confiance. En effet, la dégradation de la situation sécuritaire, qui a justifié notre action, a été reléguée au second plan, au profit d'aventures politiques malheureuses.[1]
Le nouvel homme fort du Faso, PHSD du MPSR, puisque c’est de lui je veux parler, vient de prendre la parole face aux Burkinabè.[2]